C’est arrivé en hiver 2008.
Nous vivions déjà en Suisse depuis plusieurs années et un jour, nos amis nous ont invités à faire de la luge dans les montagnes !
Nous sommes d’assez bons skieurs mais nous n’avions jamais fait de luge en montagne auparavant. Nos amis nous avaient rassurés en nous disant qu’il n’y avait rien à craindre et que c’était facile et amusant.
Ils nous ont prêté des luges et nous avons décidé d’essayer.

La région où nous vivons possède une piste de luge de 11 km de long.
Les habitants de la région font de la luge depuis leur enfance et ils savent freiner, s’arrêter et tourner.
Pourquoi, vous demandez-vous, avoir besoin de savoir tourner?
Au départ, la piste de luge ressemble à un vaste champ.
Mais petit à petit, le “champ” se rétrécit à la largeur d’une route forestière, avec d’un côté un mur et de l’autre une pente de montagne avec des arbres et des branches sèches qui sortent des troncs. Sans aucune barrière de protection.
Alors que nous descendions en luge, on a vite compris que tout se faisait avec des pieds: freiner, tourner, dépasser, éviter des trous et les bosses.
Nous allions si vite que nous n’avions pas le temps de penser au “comment”, nous le découvrions au fur et à mesure que nous descendions et que nous nous rapprochions inévitablement des arbres ou des rochers.
A un moment donné, je me suis arrêtée pour me nettoyer de la couche épaisse de neige qui me recouvrait à cause du freinage constant avec mes pieds et j’attendais mon mari qui descendait en luge avec notre fils….

Une minute est passée. Cinq minutes. Et même 20 minutes plus tard, ils ne sont pas apparus. Je me trémoussais nerveusement d’un pied sur l’autre en essayant d’éloigner de moi des idées noires.
Soudain, une luge est apparu à l’horizon. Je l’ai reconnu comme étant l’un des hommes de notre groupe. Il s’est arrêté à côté de moi et m’a raconté ce qui s’était passé.
En freinant, la jambe droite de Phil s’est accrochée à quelque chose et s’est tordue au niveau du genou dans la direction opposée.
Une douleur insupportable a signalé qu’un ligament s’était déchiré.
Je l’ai amené à l’hôpital.
Une attelle a été appliquée pour fixer le genou. Le médecin a prescrit des analgésiques et c’est tout.
Le problème avec un ligament déchiré, c’est qu’il n’y a rien d’autre à faire que d’attendre qu’il se répare. Et cela peut prendre jusqu’à 24 mois (2 ans !) avant qu’il ne se répare complètement.
Et il n’y a aucune garantie que la douleur disparaisse un jour et qu’elle ne réagisse pas aux changements des saisons ou de climat.
Trois mois plus tard, l’attelle a été enlevée mais la douleur était insupportable.
Le soulagement apporté par les analgésiques était relatif et de brève durée. En fait, la douleur était présente 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, comme une mouche agaçante.
Nous avons dû arrêter toutes les activités normales de la vie, des voyages, le sport et des promenades.
Un jour, le téléphone a sonné.
Lorsque l’interlocuteur a appris la déchirure du ligament de Phil, il s’est exclamé qu’il avait exactement quelque chose qui soulagerait la douleur en vingt secondes !
Inutile de dire que Phil a été irrité par cette “promesse typique de vendeur” et a failli raccrocher.
Au lieu de cela, il lui a répondu poliment de ne rien envoyer, car même les pilules les plus fortes n’aidaient pas.
La conversation était terminée.

Une semaine plus tard, un paquet est arrivé par la poste.⠀
Moi : Qu’est-ce que c’est ?
Phil : Les patchs.
Moi : Quel genre de patchs ?
Phil : Contre la douleur.
Moi : Eh bien, essaye-les !
Phil : Le gars dit qu’ils enlèvent la douleur en quelques secondes. Si ça pouvait être vrai, ça se saurait.
Moi : Cinq secondes ? Ça ressemble à une connerie.⠀
Le paquet est resté fermé sur le bureau.
Pendant deux semaines.
Un après-midi, j’ai aperçu Phil faire ce qui ressemblait à de brusques coups de pied en l’air… avec sa jambe malade.
Je suis resté muette de stupeur.
Avec sourire, Phil a finalement dit :
- Je n’en pouvais plus de cette douleur et j’ai collé les patchs sur mon genou. J’ai attendu dix minutes. La douleur a disparu. Comme si elle n’avait jamais existé ! Regarde comment je peux bouger ma jambe dans toutes les directions possibles. Et il n’y a pas de douleur du tout !
- Oui, je le vois. Ça semble bizarre mais je vois ce que je vois. Tu peux bouger comme tu ne pouvais pas le faire quelques minutes auparavant. Incroyable !
Phil ne s’est pas contenté d’utiliser les patchs mais il a recherché des informations sur cette technologie.
Il a appelé David Schmidt, l’inventeur, trois fois par jour et le bombardait de ses nombreuses questions.
Il essayait de comprendre comment ces patchs “magiques” fonctionnaient.
Il a cherché sur Internet les fraudes, les scandales et les critiques concernant ces patchs. Et il n’a rien trouvé de semblable.
Phil a acheté tous les patchs disponibles à l’époque et les a utilisé tous les jours.
Il était si heureux que cette douleur insupportable ait disparu, son genou guérissait et notre vie reprenait lentement son cours normal.
Trois mois plus tard, Phil avait rendez-vous avec son médecin.
Il lui a fallu beaucoup de temps pour l’examiner. Il a utilisé différents moyens pour vérifier la souplesse et la douleur de la jambe. Il la tiré dans tous les sens.
Le médecin fronçait les sourcils et grognait beaucoup, se grattait le menton et se frottait derrière l’oreille.
Finalement, il a dit : “Vous n’avez rien. Vous êtes en parfaite santé. Il ne semble pas que vous vous soyez déchiré le ligament. Nous avons dû faire un mauvais diagnostic ! Désolé.”

Le ligament a guéri en 6 mois au lieu de 18-24 mois.
Le genou de Phil s’est remis à 100%.
Aucune douleur ni écho de celle-ci.
Le genou ne réagissait en aucune façon au changement de temps ou de saison.
C’était comme si la déchirure n’avait jamais eu lieu !
Après cette expérience, Phil est devenu partenaire de Lifewave et aide depuis 13 ans les gens à améliorer la qualité de leur vie et leur santé globale.
Il y a des milliers d’exemples que Phil pourrait raconter.
Phil a utilisé les patchs suivants :
- Icewave pour réduire la douleur.
- Carnosine pour restaurer les tissus endommagés.
- Gluthatione pour augmenter la production de l’antioxydant principal.
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