Elle entrait lentement dans une machine IRM fermée (imagerie par résonance magnétique) afin de confirmer si l’accident vasculaire cérébral a eu lieu ou non. Elle se sentait étouffée par des larmes et effrayée. Quelle injustice… elle n’avait que 41 ans !
Quelques jours auparavant, son œil gauche a commencé à trembler. Elle préparait un énième examen pour une énième étude. Juste fatigué, ça passera, pensait-elle.
Mais son œil frétillait différemment. Pas comme d’habitude. Par vague avec une intensité de plus en plus croissante. Et sans répit.
Il y a eu assez de stress ces derniers temps : le déménagement dans un nouvel appartement battait son plein et les affaires ne se rangeaient pas toutes seules dans les cartons. Elle avais juste besoin d’une bonne nuit de sommeil et l’œil se calmera.
Ça ne s’est pas arrêté à l’œil: les picotements insistants dans son bras suivis de l’engourdissement, les yeux effrayés de son mari, l’hôpital.
Le médecin n’arrivait pas à se décider sur un diagnostic et a décidé de faire un scanner du cerveau.
La procédure claustrophobe n’a pas confirmé l’AVC. Oufff, a-t-elle expiré. Quelle chance !
Elle n’aurait pas dû déranger le médecin avec cette fatigue passagère – que c’est embarrassant !
- Vous avez une paralysie faciale, Madame, avait dit enfin le médecin.
- Quoi ?
- Et vous êtes au tout début. Ça va s’aggraver.
- S’aggraver à quel point ?
- Le nerf qui fait bouger les muscles du front, des yeux, des joues et du menton est mort. Ainsi, dans quelques jours, vous ne pourrez plus fermer votre œil gauche, il sera sec et vous devrez y mettre de la pommade. La bouche va s’affaisser. Vous ne pourrez pas mâcher sur votre côté gauche. Vous allez perdre votre sensibilité.
- Cela se guérit-il ?
- Oui, mais ne comptez pas sur un rétablissement complet à votre âge.
- Vous voulez dire que mon visage restera tordu ?
- Je suis désolé, mais le pronostic n’est pas en votre faveur. Revenez dans un mois quand vous aurez pris vos médicaments. Au revoir.
Elle ne se souvenait plus comment elle est rentrée chez elle, comment elle a fait ses valises pour les vacances – son visage souriant pourrait lui être enlevé. Mais un rendez-vous planifié avec son Italie bien-aimée – pas question !
Et ce n’est pas grave que toutes les photos montrent une grimace au lieu d’un sourire.
Tout ce que le docteur a dit est arrivé à son visage. Mais un mois plus tard, lors du rendez-vous, il est resté silencieux pendant un long moment avant de dire lentement :
- C’est incroyable : vous avez presque entièrement récupéré – je n’ai jamais rien vu de tel dans ma pratique. Pour votre âge, c’est un miracle !
Le miroir reflétait à nouveau son visage familier. Avec son sourire. Il y restaient encore quelques douleurs, mais elles passeraient bientôt.
Comment le savait-elle ?
Dès le premier jour, son mari avait insisté pour qu’elle colle le photo patch X39. Tous les jours.
Le photo patch a activé ses propres cellules souches, qui se sont transformées en cellules nerveuses toutes neuves.
Le patch a accéléré la régénération cellulaire.
Cela ressemble à de la science-fiction ?
Pour ceux qui ne sont pas familiers avec les cellules souches et entendent parler de la technologie brevetée et unique au monde de photothérapie pour la première fois, oui.
Pour ceux qui sont au courant, sachez que derrière ce patch se trouvent 40 ans de recherches menées par un scientifique Loren Pickart et 10 ans de recherches menées par un autre scientifique David Schmidt.
Ainsi que de nombreux tests indépendants en double aveugle qui prouvent ce qui suit :
- la capacité du photopatch X39 à activer nos cellules souches,
- et leur capacité à réparer les cellules et les tissus endommagées.
Sans produit chimique ou synthétique.
Sans injections ni douleur.
Avec notre propre lumière infrarouge.
C’est ça le miracle.
Seulement scientifique.
Avez-vous déjà entendu parler des cellules souches?
Et du photopatch X39?
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